
Cher(e) ami(e) de la Santé,
Aujourd'hui, on va rigoler un peu.
Je vais vous parler des combines hallucinantes des industriels de "l'alimentaire" pour nous faire avaler de la m.... (au sens propre, parfois, vous allez voir !!).
Bon, d’accord, vous allez rire jaune. Mais heureusement, ce sont des produits que vous devriez de toute façon ne jamais consommer !
80 % des produits alimentaires de votre supermarchĂ© sont faits Ă partir de plantes bourrĂ©es de pesticides… Ă partir d’animaux Ă©levĂ©s dans des conditions exĂ©crables… et sont ensuite trafiquĂ©s dans tous les sens, avec l’ajout d’additifs chimiques potentiellement dangereux.
Et ça… c’est quand « tout va bien » !
Dans un livre explosif, intitulĂ© Mais vous ĂŞtes fou d’avaler ça, un ingĂ©nieur qui a travaillĂ© des annĂ©es dans l’industrie agro-alimentaire fait des rĂ©vĂ©lations stupĂ©fiantes sur l’envers du dĂ©cor…. Et ce qu’il y a rĂ©ellement dans votre assiette.
Vous avez le cĹ“ur bien accrochĂ© ? Alors c’est parti :
Des crottes de rat dans votre paprika !
Et ça commence fort. Voici l’une des affaires les plus choquantes racontĂ©e par cet ingĂ©nieur :
« On a un problème, m’annonça mon boss d’une mine dĂ©confite un matin Ă mon arrivĂ©e au bureau. On s’est fait enfler par un Indien sur un lot de piment »
100 tonnes de piment qui ont Ă©tĂ© mal stockĂ©s. Les rats et les souris s’en sont donnĂ©es Ă cĹ“ur joie. En plus de quelques cadavres de rongeurs dessĂ©chĂ©s, on a retrouvĂ© des poils et des crottes un peu partout, une vĂ©ritable catastrophe.
La marchandise est pleine de crottes de rat. Et maintenant on a 100 tonnes de cette merde sur les bras. »
LĂ , vous vous dites sans doute qu’ils n’ont pas d’autre choix que de tout dĂ©truire, n’est-ce pas ?
Mais non, pas du tout : ce serait très mal connaĂ®tre l’industrie agro-alimentaire !
« Tu crois qu’on te paie pour baisser les bras au moindre problème, me dit mon boss. Il me faut une solution. Hors de question de jeter 80 000 euros de came. »
Et que croyez-vous qu’il arriva ? Ils ont fini par trouver une « solution ».
D’abord, ils ont renommĂ© la chose. « Crotte de rat », cela ne fait pas bonne impression sur une liste d’ingrĂ©dients. Ils l’ont donc appelĂ© officiellement « matière Ă©trangère ».
Et ça tombe bien, car les industriels ont droit Ă 0,5 % de « matière Ă©trangère » dans les produits comme le piment !
Ensuite, ils ont fait subir au piment un « traitement thermique » de choc, pour tuer les bactĂ©ries dangereuses. Mieux vaut Ă©viter l’empoisonnement d’un client, ce ne serait pas bon pour l’image de marque de l’entreprise.
Puis, ils ont broyĂ© le tout, le plus fin possible… pour que personne ne puisse faire la diffĂ©rence Ă l’Ĺ“il nu entre les minuscules particules de crottes ou de poils et la poudre de paprika.
Et enfin, ils ont mĂ©langĂ© tout cela Ă d’autre lots « propres » pour que, en cas de contrĂ´le, la fameuse « matière Ă©trangère » ne dĂ©passe pas les 0,5 %.
Et le tour est joué ! Avec cette terrible conclusion :
« J’aimerais vous dire que cette opĂ©ration de « nettoyage » est un cas isolĂ©, mais il nous est arrivĂ© Ă de très nombreuses reprises de recevoir des lots d’Ă©pices de Turquie ou d’Egypte contenant des fientes d’oiseaux, du poivre d’Inde ou de Chine avec ces mĂŞmes crottes de rat et de souris, des mĂ©gots de cigarettes et divers dĂ©chets. »
Cela vous Ă©tonne ? Alors vous n’ĂŞtes pas au bout de vos surprises :
Du miel fabriquĂ© en usine… sans la moindre abeille !
Ces dernières années, plusieurs enquêtes ont montré que 10 à 30 % des pots de miel commercialisés sont gravement trafiqués.
La plupart viennent de Chine… et il se trouve que notre ingĂ©nieur connaĂ®t sur le bout des doigts les « techniques » chinoises :
« Au dĂ©but, ils ont commencĂ© Ă couper le miel avec un peu d’eau. Le miel Ă©tant un antibiotique naturel, il peut contenir jusqu’Ă 18 % d’eau sans s’altĂ©rer.
Mais certains, trop gourmands, ont eu la main lourde sur le robinet et des lots de miel ont commencĂ© Ă fermenter lors du transport. La solution a Ă©tĂ© d’ajouter une bonne dose d’antibiotiques de synthèse. »
Heureusement, ce pot aux roses a Ă©tĂ© dĂ©couvert, et le miel chinois a Ă©tĂ© banni d’Europe en 2002.
Mais cela n’a pas durĂ© longtemps. Dès 2004, les importations de miel ont repris, avec de nouveaux « tours de magie » :
« Nos amis chinois ont alors ajoutĂ© discrètement des « sucres exogènes ». Ils ont commencĂ© par ajouter le sucre industriel le moins cher, du sirop de glucose liquide.»
Mais pour ne pas se faire « attraper » en cas de contrĂ´le, il leur fallait garder la proportion naturelle de fructose et de glucose dans le miel (40 % contre 30 %). Ils ont donc ajoutĂ© du fructose liquide de cĂ©rĂ©ales.
Et bientĂ´t, le miel n’a plus rien eu de naturel : « il n’Ă©tait en rĂ©alitĂ© qu’un assemblage artificiel de sirops de glucose et de fructose industriels, colorĂ© avec du caramel, le tout subtilement aromatisĂ© ».
Problème : comme il n’y avait plus un gramme de vrai miel… les analyses ont rĂ©vĂ©lĂ© que ces miels ne contenaient pas de pollen.
Qu’Ă cela ne tienne : les Chinois ont alors dĂ©cidĂ© d’ajouter un peu de pollen Ă leur mĂ©lange de sucres et d’arĂ´mes artificiels… Et on trouve ce « miel » aujourd’hui dans nos supermarchĂ©s :
« Aujourd’hui, certaines sociĂ©tĂ©s chinoises, mais pas seulement, fabriquent un « miel » comme n’importe quel produit industriel. C’est pratiquement indĂ©tectable si la fraude et faite intelligemment, c’est-Ă -dire en respectant les ratios glucose/fructose naturels, en ajoutant la bonne dose du bon pollen, le bon colorant et le bon arĂ´me.
Ce n’est pas 10 % de la fraude, mais bien davantage en rĂ©alitĂ©, croyez-moi ».
Il faut dire que, pour un industriel, le miel chinois a tout pour plaire : grosses quantitĂ©s, petits prix… et une production stable, qui ne dĂ©pend ni de la mĂ©tĂ©o… ni mĂŞme des abeilles, dont le nombre se rĂ©duit d’ailleurs comme peau de chagrin en Chine.
Ah, et au cas oĂą vous vous diriez qu’il suffit d’Ă©viter le miel chinois, sachez qu’il n’est jamais mentionnĂ© tel quel ! Il se cache sous des termes vagues comme « hors Union europĂ©enne ».
Faites bien attention, donc, au miel que vous mettez dans votre thé. Et à propos de thé :
Des thĂ©s bourrĂ©s de pesticides… y compris du thĂ© bio !
Comme le raconte notre ingénieur, même le thé bio industriel peut être frelaté :
« On a un problème avec le thĂ© bio au citron, m’annonça mon boss. On a retrouvĂ© de l’imazalil, du thiabendazole, du pyrimĂ©thanil et du carbendazime dans les derniers lots fabriquĂ©s.
On a 50 000 boĂ®tes de sachets qui posent problème (…) Ils ne peuvent pas tomber du ciel ces pesticides !»
Non, pas du ciel… Après enquĂŞte, ils ont dĂ©couvert que ces pesticides venaient des arĂ´mes de citron ajoutĂ©s au thĂ©.
La raison est simple : les arĂ´mes naturels sont produits avec des mĂ©thodes qui concentrent les molĂ©cules aromatiques… mais qui concentrent aussi les polluants !
RĂ©sultat : « des citrons conventionnels ont de grandes chances de donner un extrait de citron parfaitement « naturel » mais pourri en pesticides, fongicides et autres molĂ©cules de traitement des cultures ».
Évidemment, notre industriel s’est bien gardĂ© de jeter ces 50 000 boĂ®tes de thĂ© bio remplis de pesticides. Il les a Ă©coulĂ©es, « comme si ce rien n’Ă©tait ».
Attention : ce n’est pas une raison d’Ă©viter le thĂ© bio, car le thĂ© conventionnel est bien pire !
Voyez plutĂ´t cette autre histoire hallucinante, qui commence au bureau :
« – Tu n’as pas l’air dans ton assiette, Dany ? Un truc qui cloche ?
– C’est Ă cause des pesticides. J’ai 300 tonnes de thĂ© vert de Chine en stock et c’est pourri en pesticides, des doses Ă tuer un cheval.
– Et alors ? C’est pas nouveau, dis-je, surpris qu’il s’inquiète pour si peu. On a toujours trouvĂ© plein de pesticides dans les thĂ©s chinois, largement au-dessus des normes en gĂ©nĂ©ral, tout le monde le sait et personne n’a jamais rien trouvĂ© Ă redire.»
Sauf que cette fois, c’est diffĂ©rent.
Car c’est la brigade de dĂ©tection des fraudes elle-mĂŞme qui a dĂ©couvert cette surdose de pesticides. « Si on doit dĂ©truire 300 tonnes de came, je vais me faire lourder », s’inquiĂ©tait donc Dany.
Mais, Ă la surprise gĂ©nĂ©rale, Dany apprendra quelques jours plus tard que les Fraudes l’autorisent finalement Ă mettre ce thĂ© toxique sur le marchĂ© !
« J’ai reçu un coup de tĂ©lĂ©phone de l’inspecteur hier soir qui m’a dit qu’on pouvait y aller… mais qu’ils ne feraient pas d’Ă©crit. Il ne veut pas nous autoriser officiellement Ă vendre un produit hors normes, mais ils fermeront les yeux ».
Par quelle magie ? Notre ingĂ©nieur l’apprendra de la bouche mĂŞme de l’inspecteur qui a pris cette dĂ©cision ahurissante :
« Sur le ton de la confidence, il me dit que tous les importateurs de thĂ© vert de Chine avaient Ă©tĂ© contrĂ´lĂ©s en France et partout ailleurs en Europe, et que, bien entendu, le niveau de pesticides Ă©tait trop Ă©levĂ© chez tout le monde.
L’information Ă©tait remontĂ©e aux plus hautes instances des États et il avait Ă©tĂ© dĂ©cidĂ© qu’il Ă©tait urgent… de ne rien faire. Surtout ne pas fâcher la Chine, pour qu’elle continue Ă nous acheter quelques avions et ne bloque pas le vin français, les voitures allemandes, ou l’edam de Hollande Ă ses frontières. »
VoilĂ une bonne raison de boire du thĂ© bio… sans arĂ´me ajoutĂ©… et sans miel industriel !
Mais aussi d’Ă©viter autant que possible les aliments « transformĂ©s » ou « cuisinĂ©s »… Car vous ne pouvez jamais savoir ce qu’ils contiennent rĂ©ellement !
Comment ils vous refourguent des champignons… bleu vif !
Un beau matin, notre ingénieur doit trouver une solution pour écouler des champignons de Paris surgelés, venus de Chine.
C’est un vrai dĂ©fi, car il se trouve que ces champignons sont… bleus vif !
Personne n’accepterait donc de les acheter comme cela, surtout qu’on ne sait pas s’ils sont dangereux. C’est d’ailleurs la principale inquiĂ©tude de notre ingĂ©nieur :
« – On ne sait pas quel produit a donnĂ© cette couleur, fis-je remarquer.
– Qu’est-ce que ça peut foutre ? s’exclama mon boss, comme si je venais de dire une grossièretĂ©. Je ne te demande pas de les bouffer ces champignons, juste de les vendre !
– Mais, si c’Ă©tait dangereux ?
– Regarde les analyses dans le dossier, elles sont parfaites.
– Oui, j’ai bien vu, mais ce ne sont que des analyses de routine, personne n’a vraiment recherchĂ© ce qui clochait, insistai-je.
– Et alors ? S’il y a un problème, ce sera pour le fabricant et l’importateur. On n’est qu’un simple intermĂ©diaire. Je me fous de tes Ă©tats d’âme, je te demande simplement un moyen pour faire disparaĂ®tre cette coloration afin qu’on puisse les vendre.»
Notre ingĂ©nieur se gratte alors la tĂŞte. Ce que lui demande son patron est d’autant plus difficile qu’il n’est pas possible de les cuire. La raison ? « Les Chinois ont gavĂ© les champignons de flotte. Si on les fait frire, ils vont se ratatiner et on va trop perdre en poids ».
C’est lors qu’il a une idĂ©e de gĂ©nie : pourquoi ne pas les enrober Ă froid, avec une espèce de panure ? Triomphe de son patron :
« Comme ça, on ne verra plus du tout la couleur et on garde toute l’eau Ă l’intĂ©rieur, commenta mon boss avec un lĂ©ger rictus trahissant une profonde joie intĂ©rieure. »
Le marchĂ© Ă©tait conclu le lendemain. Et Ă©videmment, cette habile « manip » n’a pas manquĂ© d’ĂŞtre rĂ©utilisĂ©e par la suite :
« J’ai croisĂ© assez rĂ©gulièrement des lots de champignons qui avaient tournĂ© Ă la suite d’une panne de compresseur frigorifique, Ă©taient oxydĂ©s, plus marron que blancs, voire totalement noircis. C’est Ă©galement arrivĂ© avec d’autres lĂ©gumes, chou-fleur, brocolis ou poivrons, par exemple. Dans ce cas, l’enrobage Ă froid reste la meilleure solution que nous avons trouvĂ©e. »
Le livre de Christophe Brusset est truffĂ© d’histoires de ce type… Ă ne plus jamais vous faire remettre les pieds dans un supermarchĂ©.
En voici deux derniers exemples, pour la route :
Yaourt Frankenstein, confiture de fraises sans fraise…
Pour faire baisser le coĂ»t de production du yaourt, une solution frĂ©quente est d’y ajouter de l’eau, de la gĂ©latine et des amidons modifiĂ©s… puis d’appeler ça « prĂ©paration laitière ».
Le seul problème est que si l’on met trop d’eau, le produit se conserve moins bien. Heureusement, l’industrie a une solution : elle rajoute des sulfites !
Les sulfites ont l’avantage d’ĂŞtre antifongiques et anti-levures…. Mais peuvent rendre malade ceux qui y sont allergiques ou intolĂ©rants !
Autre exemple : vous voyez les confitures de fraise qu’on vous sert dans certains hĂ´tels au petit-dĂ©jeuner, dans de petites coupelles en plastiques ?
Bon, eh bien elles ne contiennent pas la moindre fraise :
« La recette : sirop de fructose et de glucose (avec la mĂŞme proportion qu’on retrouve dans le fruit, en cas d’analyse), eau, jus concentrĂ© de fruits rouges (pour la couleur), petites graines de fraise dont se dĂ©barrassent les fabricants de jus (pour faire authentique), pectine.»
Je pourrais multiplier les exemples, mais le plus important est de prendre conscience de l’incroyable danger venant de l’accumulation de tous les ingrĂ©dients toxiques.
Après avoir parlĂ© des jambons roses bourrĂ©s d’additifs, notre ingĂ©nieur explique :
« Imaginez la dose d’additifs qu’ingurgite le consommateur de mon croque-monsieur s’il l’accompagne d’un verre de soda light (acide citrique, sulfate de magnĂ©sium, lactate de calcium, chlorure de calcium, sorbate de potassium, gomme d’acacia, esters glycĂ©riques de rĂ©sine de bois, acĂ©sulfame) de carottes râpĂ©es d’une marque française qui fleure bon le terroir (acide citrique, disulfite de potassium, gomme de guar, gomme xanthane, gomme tara, sorbate de potassium) et d’un yaourt aux fruits Ă la marque d’un distributeur (amidon modifiĂ©, pectine, citrate de sodium, sorbate de potassium).»
Et le pire, c’est que les pièges ne viennent pas que des supermarchĂ©s.
La plupart des boulangers ajoutent du gluten sec Ă la fabrication de leur pain, ainsi que des « amĂ©liorants » pour qu’il soit toujours plus brillant et gonflĂ©.
Les vendeurs de glace vous proposent presque toujours des produits bourrĂ©s de colorants et additifs toxiques … et gonflĂ©s avec 50 % d’air !
Et ainsi de suite…
Que faire dans cette jungle alimentaire ??
C’est la jungle, il n’y a pas d’autre mot.
Tout récemment, on a retrouvé des métaux lourds dans les pots pour bébé. On a aussi réalisé que certains emballages alimentaires donnent le cancer. [1]
Et n’oublions pas que les supermarchĂ©s sont Ă©galement remplis d’aliments pleins de sucre, Ă Ă©viter de toute façon, mĂŞme s’ils sont « bio » et « naturels » : galettes de riz soufflĂ©, gâteaux industriels, cĂ©rĂ©ales sucrĂ©es du petit-dĂ©jeuner, etc.
C’est bien simple : nous sommes cernĂ©s par la malbouffe !!!
Heureusement, il existe une solution, et elle est très simple. En fait, tout se rĂ©sume Ă un choix entre le temps et l’argent.
Si vous avez le temps : n’achetez que des produits entiers (fruits, lĂ©gumes, etc.) et cuisinez !
Faites-vous-mĂŞme votre pain, votre houmous, vos soupes, vos glaces, vos bouillons etc. PrivilĂ©giez Ă©videmment la production locale et « raisonnĂ©e », bio si possible.
Cela prend évidemment beaucoup plus de temps de tout faire soi-même, mais quel plaisir de faire soi-même de bons petits plats et de les déguster ! Tout en préservant son portefeuille !
Si vous n’avez pas la chance d’avoir le temps, alors vous n’avez pas le choix : vous devez dĂ©penser plus d’argent pour vous nourrir correctement. Et Ă©conomiser sur d’autres dĂ©penses.
C’est ennuyeux, je sais, mais il n’y a pas de miracle : si les produits alimentaires sont aussi bon marchĂ© aujourd’hui, c’est qu’ils sont fabriquĂ©s dans des conditions invraisemblables.
Voici donc quelques règles simples à respecter si vous achetez des produits industriels :
- Fuyez les premiers prix, c’est gĂ©nĂ©ralement ce qu’on fait de pire. Évitez les promotions Ă©tonnantes, car les bonnes affaires dans l’alimentaire n’existent pas. Et si vous avez Ă choisir entre une grande marque et une marque « distributeur » (Carrefour, etc.), choisissez la grande marque, elle sera toujours de meilleure qualitĂ© ;
- VĂ©rifiez bien la liste d’ingrĂ©dients : elle doit ĂŞtre aussi courte que possible et avec le moins d’additifs (colorants, conservateurs, aluminium, etc..) ;
- PrivilĂ©giez le bio, Ă©videmment. Le bio « industriel » n’est pas toujours parfait, mais c’est tout de mĂŞme une excellente garantie pour Ă©viter les produits chimiques. Et il y a des produits bourrĂ©s d’additifs, comme les bouillons, qu’il est hors de question d’acheter non bio.
- N’achetez jamais de poudres et purĂ©es, car les industriels peuvent facilement masquer les « dĂ©fauts » des aliments utilisĂ©s au dĂ©part. Choisissez donc votre poivre en grain plutĂ´t qu’en poudre, des pommes entières plutĂ´t qu’en compote. Et votre paprika en poudre, achetez le bio !
- Surveillez les origines en choisissant le local et le national en prioritĂ©. Mais attention aux « faux amis » : les « Cèpes de Bordeaux » sont une espèce, pas une origine gĂ©ographique… et peuvent donc venir directement de Chine !
Peut-être saviez-vous déjà tout cela, vous qui vous intéressez de près à la santé.
Mais pensons Ă©galement aux autres, Ă ceux qui ne sont pas aussi bien informĂ©s. Si vous avez une minute et que vous avez trouvĂ© cette lettre instructive, n’hĂ©sitez pas Ă la transfĂ©rer et Ă la partager autant que possible.
Car c’est par nos choix, par nos dĂ©cisions individuelles que nous rĂ©ussirons Ă lutter contre l’omniprĂ©sence de la malbouffe.
Ă€ mon avis, tant qu’il y aura des gens prĂŞts Ă avaler de la « m… » Ă moindre prix, il y aura toujours des industriels pour la fabriquer.
Mais si nous changeons nos habitudes, si nous sommes prĂŞts Ă dĂ©penser un peu plus de temps et d’argent pour privilĂ©gier les petits producteurs locaux ou les produits bio de qualitĂ©, tout peut changer !
Je compte sur vous et vous souhaite une…
Bonne santé !
Xavier Bazin
https://mail.google.com/mail/u/0/#inbox/FMfcgzGljvVHSGHRpcsHXfPGtQhznzDt